Réfugiés : APRÈS L’ÉPISODE TURC, LE LIBYEN DANS TOUTE SA GLOIRE… par François Leclerc

Billet invité.

L’entrée d’un patrouilleur italien dans les eaux territoriales libyennes a suscité une vive réaction de Khalifa Haftar, qui dispute le pouvoir à Fayez al-Sarraj. L’un s’est autoproclamé maréchal de l’Armée nationale libyenne (ANL) et contrôle une large partie du territoire libyen adossé à la frontière avec l’Égypte, l’autre est le premier ministre du gouvernement reconnu par la communauté internationale de Tripoli.

QUAND LA CRISE DEVIENT MORALE… par François Leclerc

Billet invité.

Les mesures de rétorsion contre les navires des ONG qui ont refusé de signer le « code de conduite » des autorités italiennes ont débuté. L’ONG allemande Jugend Rettet a subi dans le port de Lampedusa des « contrôles de routine », selon le vieux cliché policier. Le navire y avait été escorté par une unité des garde-côtes italiens et devrait être autorisé à reprendre la mer rapidement, d’après leur commandant.

LES RÉFUGIÉS, CES PESTIFÉRÉS QU’IL FAUT REFOULER, par François Leclerc

Billet invité.

Le gouvernement italien a décidé d’employer les grands moyens pour stopper l’exode des réfugiés vers l’Italie au départ des côtes libyennes. Paolo Gentiloni, le chef du gouvernement italien a déclaré aujourd’hui que Fayez el-Sarraj, son homologue libyen, lui avait demandé l’aide de la marine italienne dans les eaux territoriales libyennes. Cela lui avait peut-être été suggéré…

TALLINN, UNE RENCONTRE POUR VRAIMENT PAS GRAND CHOSE, par François Leclerc

Billet invité.

Bien que leur réunion était informelle, un communiqué écrit inhabituel en de telles circonstances a été publié à l’issue de la rencontre de Tallinn des ministres de l’intérieur. Dans l’intention manifeste, à défaut d’avoir pris de grandes décisions, de marquer le coup pour ne pas laisser l’appel à l’aide italien résonner dans le vide. Toutefois, le ministre estonien avait beau avoir promis une rencontre « ambitieuse », le ballon s’est dégonflé dans la journée.